Limiter les émissions de CO2, c’est la recommandation majeure du rapport du GIEC.
Selon ce rapport, les émissions mondiales ont continué à augmenter fortement au cours de la dernière décennie, mais moins vite que lors de la décennie précédente.
Une évolution qui s’explique en partie par le fait que l’amélioration de l’efficacité énergétique n’a pas compensé l’augmentation globale de l’activité dans de nombreux secteurs économiques.
En juin, l’humanité émet 56 GtCO2e par an dont environ 15% (8,7 GtCO2e) liés aux émissions directes du secteur des transports.
Le GIEC avait donc estimer des réductions d’émission pour certains secteurs. Dont le secteur du transport qui se distingue par le fait qu’un grand nombre d’actions sont directement rentables d’un point de vue économique, sans même faire intervenir l’aspect carbone : par exemple le recours au vélo ou de la trottinette plutôt qu’à la voiture qui revient directement moins cher pour l’utilisateur.
