La mobilité à la carte comme alternative aux flottes d’entreprises

Si le forfait mobilités durables et le crédit mobilité démarrent doucement, les structures mises en place annoncent un bel essor à ces solutions alternatives à la voiture en entreprise.

Si près d’un tiers des actifs a modifié ses habitudes de travail depuis la crise sanitaire, ils ne sont que 10 % à avoir changé leur moyen de transport pour aller travailler, relève l’enquête menée par l’Ifop au second semestre 2021 pour le loueur Alphabet. Et 7 % seulement des personnes interrogées affirment bénéficier d’un budget alloué par leur employeur. Le forfait mobilités durables tarderait-il à se développer au sein des entreprises ? Instauré en 2020 par la loi d’orientation des mobilités, il permet aux employeurs d’être exonérés de cotisations sociales sur un montant maximal de 400 euros à rembourser à leurs collaborateurs pour leurs frais de déplacement domicile-travail, que le trajet soit effectué à vélo, en covoiturage, en autopartage ou avec des modes de déplacement tels que le vélopartage, les trottinettes et scooters électriques en libre-service.

Au-delà du forfait, une variante, baptisée « crédit mobilité », est également proposée. Ce dispositif s’adresse aux collaborateurs qui ont une voiture de fonction et qui en font peu usage. Ils peuvent renoncer totalement ou partiellement à leur véhicule, et reçoivent en compensation une enveloppe pour leurs frais de déplacements professionnels et personnels. Comme l’a relevé l’Arval Mobility Observatory (AMO) dans son baromètre des flottes de mars 2021, « pour six gestionnaires sur dix, ces solutions de mobilités viendront remplacer au moins en partie les flottes d’entreprise ».

« Nous avons développé une offre de vélo de fonction auprès de nos clients, explique la directrice marketing produit et nouvelles mobilités d’Arval. Notre objectif est d’aboutir à la gestion d’un parc de quinze mille unités d’ici 2025 ».

« Nous avons développé une offre de vélo de fonction auprès de nos clients, explique la directrice marketing produit et nouvelles mobilités d’Arval. Notre objectif est d’aboutir à la gestion d’un parc de quinze mille unités d’ici 2025 ».

Auteur citation

Quinze mille vélos

Au-delà du forfait, une variante, baptisée « crédit mobilité », est également proposée. Ce dispositif s’adresse aux collaborateurs qui ont une voiture de fonction et qui en font peu usage. Ils peuvent renoncer totalement ou partiellement à leur véhicule, et reçoivent en compensation une enveloppe pour leurs frais de déplacements professionnels et personnels. Comme l’a relevé l’Arval Mobility Observatory (AMO) dans son baromètre des flottes de mars 2021, « pour six gestionnaires sur dix, ces solutions de mobilités viendront remplacer au moins en partie les flottes d’entreprise ».

Si près d’un tiers des actifs a modifié ses habitudes de travail depuis la crise sanitaire, ils ne sont que 10 % à avoir changé leur moyen de transport pour aller travailler, relève l’enquête menée par l’Ifop au second semestre 2021 pour le loueur Alphabet. Et 7 % seulement des personnes interrogées affirment bénéficier d’un budget alloué par leur employeur. Le forfait mobilités durables tarderait-il à se développer au sein des entreprises ? Instauré en 2020 par la loi d’orientation des mobilités, il permet aux employeurs d’être exonérés de cotisations sociales sur un montant maximal de 400 euros à rembourser à leurs collaborateurs pour leurs frais de déplacement domicile-travail, que le trajet soit effectué à vélo, en covoiturage, en autopartage ou avec des modes de déplacement tels que le vélopartage, les trottinettes et scooters électriques en libre-service.

 

Si près d’un tiers des actifs a modifié ses habitudes de travail depuis la crise sanitaire, ils ne sont que 10 % à avoir changé leur moyen de transport pour aller travailler, relève l’enquête menée par l’Ifop au second semestre 2021 pour le loueur Alphabet. Et 7 % seulement des personnes interrogées affirment bénéficier d’un budget alloué par leur employeur. Le forfait mobilités durables tarderait-il à se développer au sein des entreprises ? Instauré en 2020 par la loi d’orientation des mobilités, il permet aux employeurs d’être exonérés de cotisations sociales sur un montant maximal de 400 euros à rembourser à leurs collaborateurs pour leurs frais de déplacement domicile-travail, que le trajet soit effectué à vélo, en covoiturage, en autopartage ou avec des modes de déplacement tels que le vélopartage, les trottinettes et scooters électriques en libre-service.

Si près d’un tiers des actifs a modifié ses habitudes de travail depuis la crise sanitaire, ils ne sont que 10 % à avoir changé leur moyen de transport pour aller travailler, relève l’enquête menée par l’Ifop au second semestre 2021 pour le loueur Alphabet. Et 7 % seulement des personnes interrogées affirment bénéficier d’un budget alloué par leur employeur. Le forfait mobilités durables tarderait-il à se développer au sein des entreprises ? Instauré en 2020 par la loi d’orientation des mobilités, il permet aux employeurs d’être exonérés de cotisations sociales sur un montant maximal de 400 euros à rembourser à leurs collaborateurs pour leurs frais de déplacement domicile-travail, que le trajet soit effectué à vélo, en covoiturage, en autopartage ou avec des modes de déplacement tels que le vélopartage, les trottinettes et scooters électriques en libre-service.

Si près d’un tiers des actifs a modifié ses habitudes de travail depuis la crise sanitaire, ils ne sont que 10 % à avoir changé leur moyen de transport pour aller travailler, relève l’enquête menée par l’Ifop au second semestre 2021 pour le loueur Alphabet. Et 7 % seulement des personnes interrogées affirment bénéficier d’un budget alloué par leur employeur. Le forfait mobilités durables tarderait-il à se développer au sein des entreprises ? Instauré en 2020 par la loi d’orientation des mobilités, il permet aux employeurs d’être exonérés de cotisations sociales sur un montant maximal de 400 euros à rembourser à leurs collaborateurs pour leurs frais de déplacement domicile-travail, que le trajet soit effectué à vélo, en covoiturage, en autopartage ou avec des modes de déplacement tels que le vélopartage, les trottinettes et scooters électriques en libre-service.

Si près d’un tiers des actifs a modifié ses habitudes de travail depuis la crise sanitaire, ils ne sont que 10 % à avoir changé leur moyen de transport pour aller travailler, relève l’enquête menée par l’Ifop au second semestre 2021 pour le loueur Alphabet. Et 7 % seulement des personnes interrogées affirment bénéficier d’un budget alloué par leur employeur. Le forfait mobilités durables tarderait-il à se développer au sein des entreprises ? Instauré en 2020 par la loi d’orientation des mobilités, il permet aux employeurs d’être exonérés de cotisations sociales sur un montant maximal de 400 euros à rembourser à leurs collaborateurs pour leurs frais de déplacement domicile-travail, que le trajet soit effectué à vélo, en covoiturage, en autopartage ou avec des modes de déplacement tels que le vélopartage, les trottinettes et scooters électriques en libre-service.

Quinze mille vélos

Au-delà du forfait, une variante, baptisée « crédit mobilité », est également proposée. Ce dispositif s’adresse aux collaborateurs qui ont une voiture de fonction et qui en font peu usage. Ils peuvent renoncer totalement ou partiellement à leur véhicule, et reçoivent en compensation une enveloppe pour leurs frais de déplacements professionnels et personnels. Comme l’a relevé l’Arval Mobility Observatory (AMO) dans son baromètre des flottes de mars 2021, « pour six gestionnaires sur dix, ces solutions de mobilités viendront remplacer au moins en partie les flottes d’entreprise ».

Quinze mille vélos

Au-delà du forfait, une variante, baptisée « crédit mobilité », est également proposée. Ce dispositif s’adresse aux collaborateurs qui ont une voiture de fonction et qui en font peu usage. Ils peuvent renoncer totalement ou partiellement à leur véhicule, et reçoivent en compensation une enveloppe pour leurs frais de déplacements professionnels et personnels. Comme l’a relevé l’Arval Mobility Observatory (AMO) dans son baromètre des flottes de mars 2021, « pour six gestionnaires sur dix, ces solutions de mobilités viendront remplacer au moins en partie les flottes d’entreprise ».